«Nous avons décidé de constituer un collectif d’avocats issus de la même mouvance politique que Farba Ngom pour le défendre.
La procédure actuelle n’est ni conforme au principe du contradictoire, ni empreinte de l’élégance nécessaire à un État de droit.
Le droit, c’est avant tout une question d’équilibre et de respect des droits humains. On ne peut pas exposer une personne publiquement sans lui donner l’opportunité de comprendre les charges qui pèsent contre elle. Cela va à l’encontre des principes fondamentaux de justice et d’éthique républicaine», a-t-il défendu avec fermeté.
